La sardine

En bref

Ce poisson qui vit en banc, c’est-à-dire en groupe, se nourrit de petits crustacés, d’œufs de poisson ou de larves.

Comme pour beaucoup d’espèces, sa reproduction a lieu au printemps.

Vous connaissez sans doute le bon goût des fameuses sardines de Saint-Gilles-Croix-de-Vie !

Quels sont les impacts sur cette espèce

Phase de construction :

  • La sardine est une espèce pélagique (c’est-à-dire qui vit dans toute la colonne d’eau).
  • Les principaux impacts auront lieu durant la phase de construction, les impacts en phase d’exploitation sont en effet négligeables à faibles, voire positifs (effet récif).
  • En phase de construction, le principal impact sur les sardines concernera les émissions sonores en lien avec l’installation des fondations. Cette phase peut en effet entraîner des modifications comportementales, voire des blessures. Néanmoins, la sardine est une espèce très mobile qui pourra dévier sa trajectoire et s’éloigner des points de forage lors du commencement des travaux, et se réapproprier la zone du parc une fois ceux-ci achevés.
  • L’impact sera donc temporaire, mais des connaissances scientifiques fines relatives à la sensibilité au bruit des différentes espèces de poissons restent à approfondir. Dans une approche précautionneuse, l’impact est donc qualifié de moyen.
  • Les travaux du parc éolien peuvent également entraîner une modification et une perte d’habitats (destruction des fonds marins au droit de chaque fondation) ainsi qu’une remise en suspension des sédiments, mais ces impacts seront faibles.

Carte Identité

Nom scientifique : Sardina pilchardus

Taille : 25 centimètres

Poids : 70 grammes

Longévité : 7 à 10 ans

Particularité : elle a une belle robe brillant