La vieille commune
En bref
De forme allongée, elle est souvent pourvue de couleurs multiples.
Les couleurs et les dessins peuvent varier considérablement selon l’environnement, le stade de développement et l’état émotionnel.
La vieille commune se rencontre à faible profondeur
Quels sont les impacts sur cette espèce
Phase de construction :
- Les principaux impacts auront lieux durant la phase de construction, les impacts en phase d’exploitation sont en effet négligeables à faibles, voire positifs (effet récif).
- En phase de construction, le principal impact sur la vieille commune concernera les émissions sonores en lien avec l’installation des fondations. Cette phase peut en effet entraîner des modifications comportementales, voire des blessures. Néanmoins, la vieille commune est une espèce mobile qui pourra dévier sa trajectoire et s’éloigner des points de forage lors du commencement des travaux, et se réapproprier la zone du parc une fois ceux-ci achevés.
- L’impact sera donc temporaire, mais des connaissances scientifiques fines relatives à la sensibilité au bruit des différentes espèces de poissons restent à approfondir. Dans une approche précautionneuse, l’impact est donc qualifié de moyen.
- Les travaux du parc éolien peuvent également entraîner une modification et une perte d’habitats (destruction des fonds marins au droit de chaque fondation) ainsi qu’une remise en suspension des sédiments, mais ces impacts seront faibles.
Carte Identité
Nom scientifique : Labrus bergylta
Taille : jusqu’à 60 cm
Poids : 1 à 2 kg
Longévité : environ 25 ans
Particularité : les jeunes sont d’un vert vif