Le bar
En bref
Les jeunes bars sont fréquents dans les estuaires du golfe de Gascogne.
Les adultes sont généralement présents près des côtes rocheuses.
Le bar aime se nourrir de crustacés comme les crabes ou les araignées de mer.
Quels sont les impacts sur cette espèce
Phase de construction :
- Les principaux impacts auront lieux durant la phase de construction, les impacts en phase d’exploitation sont en effet négligeables à faibles, voire positifs (effet récif).
- En phase de construction, le principal impact sur le bar concernera les émissions sonores en lien avec l’installation des fondations. Cette phase peut en effet entraîner des modifications comportementales, voire des blessures. Néanmoins, le bar est une espèce mobile qui pourra dévier sa trajectoire et s’éloigner des points de forage lors du commencement des travaux, et se réapproprier la zone du parc une fois ceux-ci achevés.
- L’impact sera donc temporaire, mais des connaissances scientifiques fines relatives à la sensibilité au bruit des différentes espèces de poissons restent à approfondir. Dans une approche précautionneuse, l’impact est donc qualifié de moyen.
- Les travaux du parc éolien peuvent également entraîner une modification et une perte d’habitats (destruction des fonds marins au droit de chaque fondation) ainsi qu’une remise en suspension des sédiments, mais ces impacts seront faibles.
Carte Identité
Nom scientifique : Dicentrarchus labrax
Taille : 50 centimètres
Poids : 10 kilos
Longévité : 30 ans
Particularité : il est plus actif la nuit que le jour